Boules Shiites. Etcaetera...

Ouais, OK, il était temps.
Permettez, il a quand même fallut que je me remette
d'une dépression post - trauma "end of holidays"
& that feckin' sucks.



22FEB2010
Introducing Nana : photographe formée par les touristes japonais :P
Pendant ce temps, Cocotte hyperventile.
Irish South Coast

Brenda & Pamela * Dublin Airport
A peine touché Terre " Hiiiiiiiii, on caaaaaapte !! "
Allô ? Tu devineras jamais... On s'est pas crashé !! :P

ImothepMaMère elle gère l'internachionaule SMS
Ouais, on capte aussi des barres XD

First night. Ben... Pub !!
Que d'la gueule les p'tites françaises, ça tourne à la grenadinette.
Jess & Coco * Ivy House

Holly Djizouss' !!
Cocotte se baigne dans une Guiness,
elle était possédée par un Leprechaun...
Cocotte * Ivy House, still.

Few hours later... Few cheers later...
OK, on commence à ressentir les grammes d'Irlande dans l'sang ^^
Coralie & I * Ivy House, again.

2nd night... Beh... Pub..!!
C'est beau comme une pub Lustucru.
July & Nana * Remake de Belle & Clochard,
j'vous laisse vous entretuer pour l'attribution des rôles :P

Nana, rhabillée pour l'hiver * Ivy House
Chez " Caroll's : Fashion For Foreign Pigeons " XD
& vas - y que j'te SKULL IT tout c'qui bouge.
Première fois de ma vie que j'enquille un gros tiers de pinte...
... En moins d'une minute. Mazel Tov.

Illustration parfaite de l'Irlandais, son teint de bidet, sa petite mousse XD
J'aurais pu en faire une carte postale tant c'est typical ^^
Damien, Sean & July * Ivy House





A SUIVRE

Parce que cette année, c'est décidé, j'arrête de fumer, boire & manger.
& je vais devenir riche, belle & intelligente.

Parce que non, à l'origine, le slogan, c'est pas "un pétard & ça repart".
Parce que non, à l'origine, le slogan, c'est pas "sans alcool, la fête est plus molle".
[ & aussi parce que le seul vrai mec prénommé Sam' que je connaisse,
ben c'est un chat, en fait.
Remercions Cyrielle, elle a testé & désapprouvé pour vous :
se faire ramener par minet. Sans succès ].

De toutes façons, depuis que je travaille en pharmacie,
l'herbe je ne la fume plus, je la sniffe.
La défonce par l'inhalation, marque déposée.
Garantie sans adjuvant. Ni mercure, ni pneus.
Le " Joint du matin, gueule de babouin ", en 2010, c'est so over.
Adieu package yeux pochés
+ jaunisse chronique de l'ensemble index/majeur
+ haleine fatiguée fragrance relent d'élan crevé de derrière les amygdales
+ canine qui s'déchausse
+ poumons phagocytés refoulant l'sanglier caramélisé.

& de toutes façons, j'en ai marre d'ouïr de telles inepties
" elle est où Clémentine ? elle vomit "
C'est bien joli,
ce coulis de tripes (dé)confites sauce gastrique sur son lit de cuvette.
& ce bel étranger qui me tiens amoureusement la tignasse.
Mais voilà, on a oublié les bougies.
& Pancho ne daigne pas venir jouer de la mandoline en toilettes turques,
je crois c'est opposé aux principes de sa religion.

Un esprit sain dans un corps sain,
[ j'ai déjà les seins, c'est honorable comme début ],
de la tisane en perfusion,
trois haricots verts au dîner,
des anabolisants au goûter.
Du sport à outrance [ Outrance n'est pas un gym'naz'club ].
Véronique & Davina version 00's.
De la choré' à tire-la-rigot, à base de levé d'genou derrière l'occiput,
le tout sans suinter des aisselles.
Tortiller du croupion telle une strip-teaseuse tanzanienne, y a que ça de vrai.
Ou peut être juste je me mettrai au kung fu sur poulet chikoungougné.

Quoiqu'il en soit, le mieux, pour remettre des pendules à Z,
c'est encore de road triper : fais péter les clefs de ta patinette Simone,
on s'fait le tour de l'Ouzbekistan en robe de bure.
C'est roots, c'est bio, c'est bien.

Ah, nan, en fait je peux pas.
J'suis déjà invitée in ze land of MacFockin'Patrick.
J'y vais pas pour m'faire du shampoing douche à la binouze,
juste je vais cueillir du trèfle.
Il aura peut être pas 4 feuilles, mais un accent absolument bandant,
ponctué de mélodieux phoques.
VIVEMENT !! [ D - 43 ]

& puis là, j'ai le compte tour rachido - bulbien à ras la pâquerette,
donc j'achèverai cet essai primordial dans un futur plus ou moins proche.
Méfiance toutefois, petit scarabée, l'avenir est incertain.
Il en est de même pour la possible fin :P

Le jour ou j'ai crû j'allais mourir quarante douze fois.

Le soleil vient de se lever,
j'viens d'gerber mon p'tit déjeuner,
quel enculé c'Ricorée...

Le thermomètre affiche 40°C
[ j'préciserai pas si c'est rectal, le risque tue - glamour est trop élevé ]

Ô râge, Ô désespoir. Je peux pas aller à l'école Nicole.
Ni au taf' Olaf. Le drame est à son apogée Dédé.
Rigolez pas, les arrêts maladies, ça finance pas la com' monstrueuse
que Pigeot s't'ispice di counasse y s'met dans les fouilles.
600 € le 1/4h de bricolage, j'm'a trompé,
j'aurai dû prendre mécanique, pas pharma'.

En parlant du loup. [ Non, je n'ai pas vu un bout de queue ]
Pigeot me SMS... [ Pigeot, il est au top de la high tech.
Ses voitures elles carburent à l'électro, son contact client au texto ]
... Pour me dire de venir chercher ma caisse pourrie,
qui est désormais toujours pourrie, mais un peu moins quand même.
& me dire également de venir remplir & signer le joli petit chèque.
[ last but not least ]

C'est à ce moment là que ma toute dévouée mère
décide de se sacrifier pour la bonne cause.
Imothep ma mère :
"Ma fille, t'y es malade. T'y dois pas conduire, t'y reste dans ton lit,
j'y vais la chercher ta voiture."
Imothep sa fille :
"Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaargh. Naaaaaaaaaaooooooooooooon !!!
M'man, je viens de raquer un poil plus d'une demi plaque pour la faire re - rouler, s'il te plaît, je t'en supplie, pitié, ne la conduit pas. Ca tuerait mon pauvre banquier.
Un découvert en vain, c'est juste scandaleusement outrageux"

Donc j'ai été récupérer ma caisse pourrie.
& conduire par 40 de fièvre le sang saturé par la codéine,
ben c'est encore moins fastoche que de rouler beurré.


Là déjà, si tu totalises, j'ai failli clamser 3 fois.
1) Pigeot m'annonce le prix d'la rançon d'MA 2 sang 6
2) Môman décide d'achevéeeeuh... de conduire MA 2 sang 6
3) Moi même décide de m'auto - achevéeeeuh... de conduire MA 2 sang 6


Après je me suis mise à plus pouvoir respirer.
Au début, je fesais un concours d'apnée avec Maurice.
Tu sais, Momo, le findus rouge écrevisse qui becte les danettes.
A la fin, j'ai été chez l'médecin, parceque c'est trop d'la triche,
Maurice il a des branchies, & que jamais j'pourrai l'éclater à ce p'tit jeu.

Mais bon, cette fois, j'avais toujours 40 de fièvre,
j'étais toujours foncedée - codéïnée - paracétamolée - antibiotisée,
mais en plus, j'respirais plus que par les oreilles.
Ok, ok, ok, c'est bon môman, tu peux conduire [ mais pas MA 206 :P ]
4ème peur de ma vie de la journée. Ma mère c'est Sami Nacéri en Twingo.

Le Doc', il veut pas trop avoir ma mort sur la conscience,
alors il se la joue très pro' :
"Tout va bien, y a aucune raison de s'inquiéter [ Part I : inhiber le mouvement de panique en rassurant mielleusement le pigeon ],
mais quand même, je vais t'envoyer à l'hosto, en passant par la case urgence
[ Part II : bouclier anti représailles juridiques
du patient pète nouille mal diagnostiqué ]"

[ & merde, maman va devoir encore conduire,
encore plus loin, encore plus longtemps T_T ]


Les urgences... Ça frise le fantastico - merveilleux tant ça troue l'fion !!!
Déjà, t'arrives aux urgences, en urgence, & tu te tapes...
1/2h d'attente pour te faire "admettre" [ une autre manière de se faire mettre,
pour rester dans un champs lexical délicat & distingué ].

Demi heure durant laquelle naquit une douce & tenace migraine :
dans le désordre : le bruit hérissant des portes grinçantes,
les hurlements stridents des morbacks sautillants,
les gémissements des vieux croutons croulants impatients [...]

Après tu refiles ta lettre à la Trudie d'l'accueil, qui se met à s'agiter, chuchote 2 ~ 3 conneries à sa collègue Peggy, puis s'empresse de te refiler un masque.

C'est à ce moment là qu'un silence de mort enveloppe la pièce.
Les gens s'écartent soudainement de ton passage, leurs visages palissent, leurs yeux sortent des orbites : l'implosion semble imminente,
tandis que leurs mâchoires tendent plutôt à se décrocher...

Puis direction le bloc H1N1. La zone de non retour, le no man's land de l'hôpital.
Tu sais quand tu y entre, jamais quand tu en sortira.
Là bas, les gens n'ont plus la partie inférieure de la tête.
Ils ont un masque greffé H24 en lieu & place du bucco - nasal.
On s'croirait à une teuf organisée par Daffy Duck.

C'est l'boxon, on a pas d'place, on a pas l'temps.
"Dépêche gamine, assieds toi là, on s'occupe de toi dans genre 2h"
"Ah ? Ben... Euh... Ben OK. T_T"

Un thermomètre sous l'bras [ ils réfléchissent pas ces gens là :
moi j'avais mis du déo über - fraîcheur,
forcément sous les aisselles j'ai pas d'fièvre ],
un brassard auto - gonflant autour du bras gauche, une seringue plantée dans l'droit.
=> Après Martine chez les bouddhas, Shiva à l'hôpital.

& le p'tit pipi dans le p'tit bocal...! L'épreuve de surhomme.
Enfin de surfemme. Parce que bon,
une femme tout court, c'est déjà un surhomme.
Déjà, t'as pas envie de faire pipi.
& puis même si t'avais envie, y a pas,
le fait de devoir regarder si tu vise bien, ça te coupe l'envie.
& puis merde, ils pourraient te filer un plus grand bocal
& une paire de gants, & un tuba [ j'ai déjà le masque, remember ].

& la radio des poumons.
"Allez, c'est comme les T - shirts mouillés, on enlève le haut ma p'tite dame.
Oui, le soutif' aussi"
"Vous voulez pas on fasse ça les lumières éteintes plutôt ?
Je préfère dans le noir quand je connais pas bien :P "
"Bon, maintenant tu plaques tes nibs sur la paroi"
[ Ô gosh, j'ai l'impression d'être une danseuse vitrine ]



& tu retournes t'asseoir dans le couloir.
Entre la grosse Josiane qui respire comme dark vador
& qui mâche son chewing gum depuis maintenant 2 heures, 56 minutes & 38 secondes
[ j'ai quelques TOC, le fait d'avoir des instincts meurtriers envers quiconque mastique du caoutchouc la bouche grande ouverte & la salive clapotante en fait partie ],
le tout en geignant tel un marcassin à l'agonie ;
& la mamie Lucette,
qui tousse uniquement si elle aperçoit un docteur ou une infirmière,
& qui se mouche allègrement dans un mouchoir en tissu sur lequel, à vue de nez,
elle a déjà dû tartiner l'équivalent de 2 litres de morve virulente.
* bon appétit bien sûr !! *

Finalement, tu peux rentrer chez toi, tu vas pas mourir tout de suite.
Parcontre si quand t'es arrivée, t'étais pas sûre à 100% d'être grippée du poulet,
ben là rassure toi, t'es forcément imprégnée, vu la faune que tu viens d'côtoyer.

Ça a aussi ses avantages, d'être malchanceux.
[ Le fait de ne pas être cocu mis à part ]
T'as l'privilège de siéger au cœur d'l'actualité
[ uniquement si cette dernière est pourrie, évidemment ]

A commencer par incarner la crise. Financière, existentielle, d'angoisse (...)
Cela dit, t'as pas attendu que Kerviel joue aux morpions avec des lingots
pour la subir leur crise économique.
Quand tu fais parti des gens qui font la fashion,
tu te dois d'avoir tout testé avant que le phénomène soit qualifié de "in".
Toi, t'as pas attendu 2009 pour criser économiquement.
Toi, depuis ta majorité, les discussions avec ton banquier,
elles se font par le biais d'la kalachnikov.

Encore plus actuel, encore plus "tout l'monde en parle", encore plus overmédiatisé :
La grippe. A / H1N1.
* bande son des dents d'la mer *
Parce que son histoire est digne d'un Dallas croisé 30 millions d'amis :
Son pédigrée peut quand même s'vanter d'aligner une grand mère poule mexicaine
& un oncle cochon asiatique, le tout agrémenté à la sauce zoophile, puisque, oui,
il a bien fallut que le poulet soit un porc génétiquement considéré comme humain.
[ tu es probablement né dans un commissariat, en fait ]

Alors voilà, c'est parti pour un épisode absolument transcendant de Vis ma vie.
Vis ma vie de pandémique, destinée à une mort plus que certaine,
dans d'atroces souffrances.

[ instant Petit Robert : une pandémie, c'est une épidémie qui touche les pandas.
Il se trouve que dernièrement, j'ai pris un peu de poids,
& mon état d'fatigue m'a permi de me convertir au bio :
mon maquillage est 100 % naturel -> cernes,
& il est 2 en 1 ombre à paupière + blush -> cernes jusqu'aux joues ]

Illustration du Panda fauché par la pandémie

Symptômes :

La fièvre. Elle n'est pas spécifique au samedi soir.
Elle est écocertifiée : réduction du temps d'chauffage de l'habitation,
diminution du génocide du mouton, le pull en laine devenant facultatif,
40°C à longueur de journée, faut pas déconner,
hiver ou pas, je reste en bikini Josy.

Les courbatures. On finit par les apprécier les coquines. Hey ouais mec,
qui dit douleur musculaire dit présence du muscle en la demeure.
Je suis vachement musclée. CQFD.

Maux de tête. Suffit d'avoir l'oreille musicale, & t'as le rythme dans la peau.
Là de suite j'ai Thunderstruck qui tambourine VS ma paroi crânienne,
plus prenant qu'l'original :P

La toux. Ou la douce impression qu'en forçant un peu,
tu pourrais faire remonter tes poumons par la gorge.
La capacité de défier les lois de la gravité & d'l'anatomie,
si c'est pas grisant ça.

La perte d'appétit. Mais j'ai envie de dire youpi. Un régime gratuit.
Une apparence de panda evanescente. Tout bénef'.

Quant au nez qui coule, à l'oeil qui luit, à la bouille de chien battu : t'es pitoyable. T'inspire peine & compassion sur ton passage, & même que,
si t'étais pas toute pourrie & contagieuse, ils te feraient tous des câlins à la chaîne.
Peut être si je tends la main ils auront le portefeuille généreux..?

Bilan : tu vois ne serait - ce qu'un point négatif ??
Ma VDM n'en est pas une. Traîtrise.


Pour poursuivre dans l'JT, & dans le fabuleux destin d'une énormité préméditée :
"Un brevet pour la fabrication du vaccin contre cette grippe, a été déposé par le laboratoire fabricant, quelques mois avant l'apparition de la maladie..."
C'est juste d'une beauté à couper l'souffle
[ d'où l'apparition de complications respiratoires ? :P ]

A méditer petit scarabée.










& MarieChoupette ??!
MarieChoupette n'est jamais sujette aux petites faiblesses
atteignant le commun des mortels.
MarieChoupette, c'est une vraie de vraie.
Elle préfère s'faire amputer du palpitant.
& elle à raison, c'est nettement plus théâtral que nos virus pas photogéniques.

M'enfin, garde le encore un peu ton p'tit cœur, au moins jusqu'à cet été.
Les BBQ d'bidoche, c'est toujours plus sympa, au soleil... XD

Ô boy. Une semaine de béquille. C'est juste pas drôle.
On s'rend pas compte, comment la vie, c'est un terrain d'embûches en vrai.
Ou une embûche de terrain.

Tu sais combien de fois par jour tu montes & descends des escaliers ?
Moi nan plus, avant, je savais pas.
En moyenne 16 fois.
Mais pas avec les béquilles, oulah non, trop complexe, trop de coordination, pas suffisamment de neurones à ta disposition pour concorder tous ces paramètres indispensables à ta stabilité, à ta survie en fait :P
Alors tu prends ton pied, & ta cloche. & tu sautes.

& en 3 jours, t'as les pectoraux d'Stalone [ l'attaque de la rambarde ], la cuisse gauche de Roberto Carlos [ l'attaque de la marche ], & les poumons de Pamela Anderson [ déconne pas, j'suis sûre elle a des capacités inhumaines dans l'domaine du souffle, y a quand même une place importante pour loger du poumon ].

& tu réaménages ton existence.
Genre pour prendre ta douche, tu rentres plus dans ta baignoire en l'enjambant,
tu tentes la galipette arrière.

Pour descendre tes escaliers [ ouais, quand t'en es arrivé à rejouer la scène 3 de cet acte 12, tu cherches un autre moyen que le cloche patte ], 2 solutions :
1) Ta rambarde est une nana sympa : elle relie un point A, qu'on appellera le haut, à un point B, le bas, le tout sans interruption.
Dingue, tu viens de te rendre compte que t'avais un toboggan à domicile.
2) Ta rambarde est [ petit a ] une connasse pas continue, [ petit b ] inexistante. & là t'es ravie d'avoir le croupion bien rembourré,
parce que descendre les marches sur le Q, ça nécessite un minimum d'amorti.

Pour débarrasser la table,
ben t'arrête de cuisiner dans les cocottes minutes en fonte.
[ Spéciale casse - dédi à Marthouille !! ]

& tu te découvres des dons insoupçonnés, telle une aptitude à traverser la pièce, à cloche pied, un bol de thé, bouillant & remplit à ras - bord cela va de soit, j'aime vivre dangereusement. Sans en perdre une goutte.
Si si si. J'ai vécu, j'ai vu, j'ai vaincu. & je l'ai bu.

& tu te rends compte de l'utilité de la chose.
Le mec normal [ j'entends : qui n'a pas de béquille ], face à la flaque de boue, [ que dis - je ? Le lac de boue ]
ben avant il a l'air con, dedans aussi, & après il a juste l'air crade.
Toi par contre, avec tes jambes bioniques, un coup d'planté de béquilles bien placé, & tu survoles l'étendue boueuse & tumultueuse [ j'te jure y avait des vagues dans la boue ], & après, t'as juste l'air d'une winneuse.

Cadeau bonux : finalement, j'aurai p't'être dû tenter la salsa..!


Bon, mais quand même. J'ai la shkoumoune, c'est plus que certain.
Après avoir passé des nuits entières à réfléchir à qui, mais qui nomdidjou, pouvait bien être le coupable [ l'ignoble chien galeux bouffeur d'amanite tue mouche qui m'a marabouté, jeté le mauvais oeil, tout ça ], je me suis souvenue.

Terrible réminiscence que celle - ci.
J'ai bien dû briser 5 ou 6 miroirs par le passé.
OMFG. Statistiquement, on culmine à 42 ans d'malheur. On est pas sorti d'la berge. J'ai même la nette impression qu'on est en train de s'y engluer à long terme.
La baraka incarnée : le CDI d'la malchance. Yiha.

Alors bon, aux grands maux les grands moyens.
& quand t'es dans la mierda jusqu'aux cojones, que fais - tu Jean Pierre ?
Tu appelles un ami ! Google est ton ami.
Alors tu tapes "porte bonheur" "conjurer le sort" "attirer bonnes vibrations" dans ta barre de recherche.

& c'est parti Henri, pour une déferlante de bonnes résolutions & de contre attaques ésotériques implacables.
J'me suis convertie au Feng Shui. Les good vibes, s'pas parce que tu mets du Beach Boy ou du Bob Marley que tu les captes. Non non non. Il faut "favoriser le passage des flux énergétiques en ton humble demeure", petit scarabée.
Alors j'ai rangé ma chambre. J'ai jeté tous les meubles.
Parce que quand ça dépasse, s'pas Feng Shui.

J'ai voulu mettre une bougie blanche au nord, une rouge au sud [ ça, ça te triple kick l'onde négative out ]. Mais j'avais pas de boussole, elle est très certainement partie à la benne, elle était dans un des tiroirs d'un des meubles dont je m'étais précédemment séparée. Donc j'ai attendu que le soleil se lève, un rapporteur à la main. Localisation de l'Est, application des 90°, une croix à la craie sur le parquet,
& la place des bougies est démarquée.

Damn ! jamais j'aurai pensé que pour jouer les japonais chakraïsés,
y fallait une maîtrise en topographie.

Bon, évidemment, j'ai déferré le poney, donc l'option fer à cheval est périmée.
S'pas grave, y reste le trèfle à 4 feuilles. Allons ramper dans les sous bois, à la recherche de la plante du bonheur. Y en avait pas. Ni du quadritrèfle, ni de la beuh.
S'pas grave, MacGyver est un ex.
Un trèfle à 3 feuilles, on en scotche une quatrième, emballé, c'est pesé.

Pour finir, on asperge le chat noir à l'eau oxygénée, le résultat est plus que parfait, il est blond comme une peroxydée, & l'irritation d'la pupille aidant,
il peut même jouer à l'albinos.

Si avec ça, je rétablis pas l'équilibre entre l'ying & l'yang,
j'me mettrai au ping & au pong.
Mon obsession pour le Japon est palpable,
histoire de pays du soleil levant & de perte de boussole.



Ah, & j'allais oublier !!
MarieChoupette !

* spotted on friday night *
MarieChoup'Choup' officiellement main dans la main avec X
[ c'est pas du sous X, c'est vraiment son initiale, le hasard fait bien la chose :P ],
& ils sont repartis ensemble... [ & là, c'est LES 3 points de suspension, ceux qui invitent subtilement ton imagination à se déchaîner XD ]

[ & en fait, X s'appelle V. Putain, mes sources sont absolument pas fiables T_T ]

Milles excuses, j'ai pas eu accès à la paparazzade.
Qu'on amène le goudron & les plumes quoi.

... A suivre ^^

Parce que MarieChoupette le vaut bien.

Parce que je "devrai écrire des livres tant ma logique est implacable,
mes réflexions débordantes de philosophie d'comptoir,
mon analyse de la situation semblable à celle de mes tifs : blonde".

& parceque je n'avais pas de livre vierge sur lequel écrire, alors on va tartiner par ici.
[ les livres de mon entourage ont tous été dépucelés. Aha.
Autant mettre les points sur les i & les accents sur les e :
oui, la blague pourrie c'est tradition. Que dis - je, religion. ]

Parce que j'ai toujours pas trouvé un psy doué de bonté, dont l'aptitude à m'écouter déblatérer des inepties à longueur de journée ne me coûterait pas un rond.

Parce que c'est usant de se parler à soi même, les auto insultes me hérissent, quant aux lancés de fleur de moi pour moi... Mais comment me remercier ??

Parce que MarieChoupette s'est autoproclamée ma muse.
& que par conséquent, j'étalerai ici sa vie mouvementée dans les moindres détails,
ça va juste être plus excitant que du Voici.

Parce que MarieChoupette, c'est de la modasse over pointue,
& que même Kate Moche elle bave d'envie devant un tel déluge de sapes indubitablement fashion. MarieChoupette ne suit pas la mode, c'est elle, la mode.

Parce que MarieChoupette, c'est un roman érotique (ou pas) par jour,
parce que oui, MarieChoupette elle est belle, elle est bonne, elle est...
[ ouais, t'as saisi quoi, c'est une tombeuse ], & que, fatalement, sa vie amoureuse est...
C'est quoi au dessus de trépidante ? Tourbillonnante ? Ah ouais ! Tsunamisante.

Parce que MarieChoupette, elle trouve toujours les mots justes.
Un exemple : si tu es coursé par une horde de guêpes en furie,
c'est la guêpe ride.

Bon. On a donc les pages "Staïle", le chapitre "Love/Sex/Wok'n'Wall",
la rubrique jeux [ de mots ]... Manque que l'encart "Casseroles"
& on est OP pour défier Closer.

Ah, ben voilà :

Ladies 'n' gentelmen, let me introduce ya... MawieChoupette !!!
Qui visiblement cherche la Mecque XD